Luxe Haori Homme Soie Noire MitsuKashiwa MonTsuki Ryoanji
Découvrez ce rare haori antique pour homme en soie noire, orné du blason Mitsu Kashiwa. Inspiré par le jardin Zen de Kyoto, il allie élégance et tradition. Parfait pour l'exposition ou le port.
Luxe rare antique Haori Zen Ryoanji homme
Origine : Fabrication au Japon
Composition : 100% pure soie noire
Doublure : Soie dorée
Kamon : Orné de 5 armoiries familiales kamon Mitsu Kashiwa
Signification du Kamon Mitsu Kashiwa
Le Mitsu Kashiwa représente trois feuilles de chêne stylisées réunies au centre. Le chêne, symbole de robustesse et de longévité au Japon, souligne la force familiale ou clanique. Le cercle autour des feuilles symbolise l'unité et la protection, signifiant un clan solidement uni et protégé.
Le Clan samouraï qui portait ce Kamon
L'emblème Mitsu Kashiwa était utilisé par plusieurs clans, notamment le clan Kashiwa et certaines branches du clan Tokugawa. Ces guerriers respectés utilisaient ce symbole pour représenter leur force, longévité et loyauté envers leur seigneur.
Motif : Surpiquage représentant le jardin zen sec du célèbre temple Zen "Ryoanji" de Kyoto.
Dimensions :
- Hauteur : 90 cm
- Largeur d'épaule à épaule : 60 cm
- Largeur de manche : 33.5 cm
- Hauteur de manche : 49 cm
- Largeur de manche à manche : 130 cm
Période : Heisei (1989~)
Condition : Excellente, comme neuf (voir détails photos)
Description :
Pièce d'art traditionnel japonais unique, rare et magnifique antique Haori en soie de haute qualité. À exposer dans votre intérieur ou à porter par-dessus kimono, samue ou iaidoGi pour la pratique du Kenjutsu ou autres arts martiaux. S'assortit également avec tout vêtement traditionnel ou urbain.
Livraison :
Ce Haori sera expédié uniquement avec DHL EXPRESS (délai de 4 à 7 jours) pour garantir une réception parfaite.
Jardin japonais sec du Temple Zen Ryoanji
Ryōan-ji (龍安寺, littéralement "Temple du repos du dragon") est un temple zen situé dans le nord-ouest de Kyōto, construit au XVIe siècle, faisant partie du Patrimoine mondial de l'UNESCO. Le célèbre jardin zen de pierres karesansui du Ryōan-ji est considéré comme un chef-d'œuvre de la culture zen japonaise.
Le Jardin de pierre
Le jardin a été construit à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle, entre 1499 et 1507. Sa superficie est d'environ 200 mètres carrés. Il est entouré au sud et à l'ouest d'un muret couvert d'un toit de tuiles, à l'est d'un autre muret, et au nord d'une véranda en bois derrière laquelle se trouve le hōjō (les appartements du supérieur du temple).
À l'extérieur se trouvent des érables et des pins rouges qui n'étaient sans doute pas présents à l'origine. La construction sur un terrain plat est une nouveauté à l'époque. Quinze pierres, entourées de mousse, y sont disposées en groupes, d'est en ouest, de cinq, de deux, de trois, de deux puis de trois.
Le petit nombre de pierres est aussi une nouveauté par rapport aux autres jardins secs de la même période : celui du Daisen-in par exemple en compte plus de cent, sur une surface deux fois plus petite. Le jardin de pierres du Ryōan-ji appartient à la catégorie des « jardins de néant » (mutei).
La paternité du jardin a été attribuée diversement à Hosokawa Katsumoto ou au peintre Sōami. Ces attributions sont probablement légendaires. Sur l'une des pierres du jardin sont gravés les noms de deux kawaromono (une sorte d'intouchables japonais) : Kotarō et Hikojirō. On sait par ailleurs qu'un Kotarō et un Hikojirō ont travaillé au jardin du Shōsenken (au monastère Shōkokuji) dans les années 1490-1491. Aussi ces deux personnes pourraient bien être les véritables auteurs du jardin de pierres du Ryōan-ji.
Les pierres ont été disposées de telle sorte qu’il ne soit pas possible de voir les quinze pierres à la fois d’où que se trouve l’observateur.
Le jardin se compose simplement d’un lit de fins graviers de kaolin harmonieusement ratissés. Le kaolin ratissé symbolise l’océan, les rochers, eux, figurent les montagnes.
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